ESSAI THEORETIQUE
SUR LES
пышном DES PLAQUESELASTIQUES, BECTANGULAIRES ET LIBBES. <...> II h’y а раз de Géométre, je crois, qui apr‘es avoir lu l’excellent traité de M. Chladny sur le son, n’ait senti le plus grand
desir, qu’on put trouver е: démontrer 22 priori par le calcul les
belles découvertes, Чае cet habile Physicien a faites avec tant
de sagacité, par ses expériences sur les vibi'ations de différens
corps, qu’on пе s’étoit méme point encore avisé de prendre en
cousidération. <...> Les efforts des plus grands Géométres de ce siécle
sembloient presque épuisés dans la determination без vibrations, excitées dans des corps fléxibles он élastiques, qu’on ротой:
regarder comme n’ayant qu’xmé вежде dimension, tels (див les
cordes et les lames élastiques. <...> Si M. L. Euler а osé passer plus
loin, et traiter du son des cloches, i1 а гесошш lui-méme, qua
l’hypotbése, qu’il faisoit servir (16 base ‘a зев calculs, étoit précaire; et M. Chladny a monué, qu’en effet elle n’étoit pas admissible, puisque les résultats, auxquels elle avoit conduit son
._ 198.auteur, ne s’accordoient point avec 1’expérience. <...> J’étois done
bien loin de song‘er той-тёте ё l’entreprise d’un travail, que je
croyois h-peine la la portée de ‘ceux d’entre les Mathématiciens, que je do‘is regarder comme mes maitres. <...> Cependant ayant Iu
l’essai de M. Euler sur le mouvement vibratoire <...>